Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)
 on s'en fou 


Il y a toi, il y a eux et puis il y a moi... et tout ça donne cet assemblage de mots, aussi incompréhensibles les uns que les autres...

 XML 

Qui se balade dans le coin ?
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


Les chaussettes

.



quand rien ne va, il y a la vodka...

Ya des périodes où rien ne va…

 

Je crois que celle-ci en fait partie.  Tout a commencé quand j’ai quitté V il y a quelques mois. Je ne pouvais plus pleurer, je picolais et couchais avec n’importe qui. Puis il y a eu le WEI, ou j’ai rencontré Se, grâce à qui je me suis débloquée. Me revoilà la fille trop sensible qui peut pleurer. A part que maintenant, j’ai envie de picoler, tout le temps. Oublier dans la bouteille. J’ai l’impression que ça va me permettre de ne pas tomber en dépression. Puis je m’accroche à Se, je ne sais pas quoi penser, mais je le veux, même si je dois attendre des mois. Je suis pathétique. Tant pis. Ça me donne un but. Au moins un. Au boulot, je stagne, je n’aime pas ma boite et je m’y fais littéralement chier. Je me lève à contrecœur tous les matins. Ce n’est pas motivant. Je passe ma semaine à attendre le week end pour pouvoir picoler. Pathétique. Mais bon, j’ai toujours été pathétique, ça ne change pas.  J’ai limite envie de me faire virer, pour rester chez moi au fond de mon lit à mater des séries la bouteille à la main. Ça craint… On est mercredi, et jamais une semaine ne m’a semblé si longue. Je ne veux pas me réveiller chaque matin, en aillant pas envie d’aller travailler, en essayant de trouver une excuse pour ne pas y aller. J’ai envie de voir Se, apprendre à le connaitre et guérir ses blessures passées, dont je suis au courant alors que je ne devrais pas. J’ai envie d’aller en cours, et j’ai surtout envie de faire la fête encore et encore.

 

Et puis je veux boire…

Ecrit par penséeenvrac, le Mardi 25 Octobre 2011, 12:10 dans la rubrique "on s'en fou".