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 on s'en fou 


Il y a toi, il y a eux et puis il y a moi... et tout ça donne cet assemblage de mots, aussi incompréhensibles les uns que les autres...

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Les chaussettes

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quand le sourire de notre dame me rend le mien...

Notre dame était face à nous.



Elle nous souriait. Nous avions chacun prit comme excuse le froid pour que je vienne sur ses genoux me blottir dans ses bras. J’étais bien. Depuis quelques heures, on enchainait fou rire sur fou rire, verres sur verres. Nous étions un peu bourrés. Nous racontions de la merde, et le même sujet revenait tout le temps. Peu importe. Nous étions définitivement bien là l'un collé à l'autre. Du moins je trouvais. Je ne savais pas trop ce que j'avais envie de lui. Une amitié. Du sexe. Une relation. Aucune idée. Peu importe. Ce qu’il me proposerait sans doute.  Mes coups de blues s'étaient envolés au grand galop, laissant place au sourire et à la bonne humeur. Nous partagions ce petit sachet de bonbons qu'on avait acheté au coin d'une rue, se perdant dans les rues de Paris. Nous nous racontions nos souvenirs respectif, et je sentais un lien se créer de plus en plus au fil des jours, un lien se resserrer en cette nuit froide de décembre. Un lien fragile. Mais un lien quand même.




Le vent se levait et il me serra plus fort contre lui. J'étais bien....






Ecrit par penséeenvrac, le Vendredi 4 Décembre 2009, 02:57 dans la rubrique "on s'en fou".


Chaussettes :

  passionnee-par-les-reves
passionnee-par-les-reves
05-12-09
à 00:27

"Je ne savais pas trop ce que j'avais envie de lui. [...] Ce qu'il me proposerait sans doute". C'est juste énorme. C'est, voilà tellement juste, c'est ce qu'on ressent souvent je crois. La dépendance à la volonté de l'autre.
Et puis, il y a autre chose. Ton texte m'a fait énormément pensé à une journée, début août,où l'on avait commencé à visiter Paris en commençant par notre-dame à 10H30 du mat'. Et c'était formidable, cette journée était formidable. La suite aussi, courte, mais formidable.
J'espère qu'il en sera de même pour toi. Mais vraiment que cela dure.

  LiliLou
LiliLou
06-12-09
à 00:17

Charmant dis donc, cette journée parisienne et ces mots =)
Faudra que tu m'emmènes encore, traîner des talons dans Paris.
Je t'embrasse !