Joueb.com
Envie de créer un weblog ?
Soutenez le Secours populaire
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web.
Débarrassez vous de cette publicité : participez ! :O)
 on s'en fou 


Il y a toi, il y a eux et puis il y a moi... et tout ça donne cet assemblage de mots, aussi incompréhensibles les uns que les autres...

 XML 

Qui se balade dans le coin ?
Nom d'utilisateur
Mot de passe

Mot de passe oublié ?


Les chaussettes

.



je me retrouve au milieu de ces tourbillons parisiens...

Paris s'éveille et moi je m'endors...



Au fond de mon canapé au troisième étage, la clope au bec, mes cours devant moi, je tourne en rond. J'ai envie de baiser je crois. Je crois. Je n'en sais rien. Ma vulgarité prend le dessus comme d'habitude, et j'ai comme une envie de crier à chaque passant que je l'emmerde. Je ne sais pas pourquoi. Peut être juste la fin de cette journée si bizarre. De ces cours qui n'en finissent pas, et de cette vie qui n'avance plus. Et puis j'ai peur. les tuiles pleuvent, et j'attends juste qu'une me tombe dessus, me demandant juste ce que ce sera. Quand ce sera. Mon portable reste silencieux. De toute façon j'ai viré son numéro, et je ne vois pourquoi je lui parlerai. J'en suis venue à en vouloir aux gens qui ne le méritent pas, à écrire de la merde sur ces pages blanches, à me faire chier, à vouloir reboire, refumer, à avoir envie de foutre ma merde partout et me coucher sans remord. J’en suis venue à ne plus être moi à force de côtoyer ces gens bourrés de fric, qui ne s'habille ntqu'avec des marques et ne jure que par le shit, l'alcool et le sexe. J'essaie de ne pas être comme eux, mais je sens que d'ici peu, ils m'emporteront dans leur tourbillon de merde et d'alcool, dans leur fête sans lendemain, et les tuiles parisiennes.

 



Je sens que d'ici peu je ne serai plus moi, la pauvre paumée de sa campagne...





Ecrit par penseeenvrac, le Mercredi 21 Octobre 2009, 00:13 dans la rubrique "on s'en fou".


Chaussettes :

  LiliLou
LiliLou
21-10-09
à 03:04

T'as trop de caractère pour ça, trop de gueule, trop de toi même.
Tu peux tourbillonner un peu, quand même, les volutes de fumées, et les paradis artificiels tout ça.
C'est un bon gros passage à vide. J'tavais dit, te retrouver avec toi même. J'pense que c'est bien que t'y réfléchisses. Te laisses pas trop prendre aux tourbillons quand même. T'as des putains de putains de priorités ma belle.